Le maréchal Pétain De la gloire à la déchéance: Ceux et celles qui ont fait l'histoire de France

Le mar嶰hal PETAIN est mort en 1951, cela fait maintenant soixante dix ans. A cette occasion il m'a paru utile de publier ce livre qui apporte un 嶰lairage sur la vie de ce grand monsieur. Rare sont les personnalit廥 qui ont au travers de leurs actes, de leurs engagements suscit?autant d'admiration et autant de haine.
Colonel proche du d廧art ?la retraite au d嶵ut de la grande guerre, PETAIN se trouve quatre ans plus tard propuls?au sommet. Vainqueur de Verdun il se voit la guerre ?peine termin嶪 conf廨er la dignit?de mar嶰hal de France. Adul?et v幯廨?on lui confie les plus hautes fonctions et responsabilit廥: chef des arm嶪s, ministre de la guerre, ambassadeur, etc. Il se voit 嶲alement couvert d'honneurs en 彋ant notamment nomm??l'accad幦ie fran蓷ise.
En 1940 alors que la France conna褾 le plus grand d廥astre de son histoire les plus hauts responsables du pays, mais aussi le peuple, voient en lui l'homme providentiel, celui qui sauvera le pays. On lui donne le pouvoir, pensant toutefois que vu son grand 殟e il pourra ais幦ent 皻re orient?et guid? Mais c'est faire fi de l'homme, de sa volont?et de ses capacit廥. Fort de ses convictions, fort de son amour pour la France, il fera le choix de la collaboration avec l'Allemagne nazie. Il permettra que des fran蓷is combattent aux cot廥 des allemands (division Charlemagne), il encouragera les travailleurs fran蓷is ?oeuvrer au profit de l'嶰onomie de guerre allemande. Il permettra d'alimenter la machine d'extermination nazie en livrant des milliers de juifs 彋ranger ayant cherch?refuge en France, en livrant des milliers de juifs fran蓷is ?leurs bourreaux. Devenant ainsi au sortir de la seconde guerre mondial un homme ha?
Soixante dix ans apr鋊 sa mort, la majorit?de ses contemporains ayant disparus, il reste toujours difficile et d幨icat de parler du mar嶰hal PETAIN; Que doit-on retenir de lui? Le h廨os de la grande guerre, le vainqueur de Verdun ou l'homme de la collaboration, le bourreau des juifs? Chacun se fera, en fonction de ses convictions, son opinion. Ce qui est certain toutefois est le fait qu'il n'y aura jamais d'unanimit?et que le d嶵at ne pourra 皻re clos.