Lettres écrites de la montagne: une oeuvre de l'écrivain et philosophe Jean-Jacques Rousseau

Lettres 嶰rites de la montagne par Jean-Jacques Rousseau Les Lettres 嶰rites de la montagne est une oeuvre de l'嶰rivain et philosophe Jean-Jacques Rousseau en r廧onse aux Lettres 嶰rites de la campagne de Jean-Robert Tronchin, procureur g幯廨al ?Gen鋦e.Apr鋊 la parution de l'卌ile et du Contrat Social, Jean-Jacques Rousseau est menac?de prise de corps par le Parlement de Paris. Il s'enfuit ?Neuch漮el en juin 1762, ne pouvant r嶯nt嶲rer la ville de Gen鋦e dont il est citoyen, car les syndics et le Petit Conseil de Gen鋦e ont 嶲alement condamn?les deux ouvrages et interdisent l'acc鋊 de la ville ?Jean-Jacques sous peine d'arrestation. Le 12 mai 1763, Jean-Jacques abdique sa citoyennet?genevoise.Quelques amis de Rousseau, men廥 par Jean-Fran蔞is Deluc, font une Repr廥entation devant le Petit Conseil en juin 1763 pour faire annuler cette condamnation. L'affaire prend un tour politique. Devant le silence du Petit Conseil, les Repr廥entants en appellent au Grand Conseil ou Conseil des CC, appel que le Petit Conseil juge inopportun en usant de son droit n嶲atif. Le conflit s'彋ernise, c'est alors que le procureur g幯廨al Jean-Robert Tronchin fait para褾re trois lettres 嶰rites de la campagne le 27 septembre 1763, suivies d'une quatri鋗e le 24 octobre. Les lettres justifiaient la condamnation des deux livres et 憝acuaient les pr彋extes juridiques avanc廥 par les Repr廥entants.C'est dans ce contexte que Rousseau r嶮ige entre octobre 1763 et mai 1764 les neuf lettres de la montagne. Les cinq premi鋨es ont pour objet de d幦ontrer que la sentence du Petit Conseil est arbitraire car seul le Consistoire est comp彋ent en mati鋨e de foi. La sixi鋗e prend la d嶨ense du Contrat Social. Les trois derni鋨es apportent un appui aux Repr廥entants en faisant la d幦onstration que le droit n嶲atif exerc?par le Petit Conseil usurpe le pouvoir souverain qui rel鋦e du peuple. Sur le plan de la foi, il ne renie rien de ses 嶰rits et fustige les pasteurs qui se veulent orthodoxes en se m